Ma Cousine Salope [4]

http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=26874

Le samedi soir, nous avions rendez-vous près du même coin que les autres fois. C’est un coin assez calme à l’extérieur du village. Il y a une salle disponible à la location pour les fêtes juste à côté, et derrière, un petit chemin qui amène vers une rivière (c’est sur ce petit chemin que tout s’est passé jusqu’à présent).
Je l’attends donc sur le petit chemin. Il est pas loin de 21h30, elle doit trouver un prétexte pour sortir de chez elle et prendre la voiture. J’avais dit au vieux qu’elle serait dispo aux alentours de 22h. J’attends. 21h45 toujours personne, je commence à me dire qu’elle n’a pas pu, ou n’a pas voulu se libérer. Je rebrousse chemin vers la voiture, quand je vois une twingo se garer. Sa voiture. Parfait, je retourne au coin prévu.
Elle arrive en pyjama, chausson, et grosse veste. J’ai limite dû mal à le croire.
- C’est quoi cette tenue ?
- Je veux pas éveiller les soupçons, j’ai fait comme un soir habituel à la maison… j’ai attendu que **** (son mari) rejoigne ses potes. Les s sont pas à la maison. Quand j’ai vu que j’étais en retard je me suis pas changée…
J’ouvre sa veste, elle a un vieux pyjama rosé fané, avec des motifs d’un vieux dessin animé dont j’ai oublié le nom.
- Au boulot, lui dis-je alors en sortant ma queue.
Elle se jète presque à genoux et se met à me sucer. Y’a rien à faire elle suce toujours aussi mal. Elle adore ce qu’elle fait, elle aime ça, mais trop de gourmandise et pas assez de technique je suppose.
Alors qu’elle me pompe, j’aperçois un mouvement sur le chemin. J’espère que c’est le vieux de la dernière fois. Ça pourrait être problématique si c’est quelqu’un d’autre. Je finis par distinguer deux silhouettes. Je me dis que ça craint et commence à sortir du chemin, mais j’entends et reconnais la voix du vieux. Amandine le fait dos, trop occupée à me sucer pour avoir fait attention à eux.

Ils arrivent à notre niveau et je vois que le vieux de la dernière fois et venu avec un pote à lui tout aussi vieux. Ils nous regardent, Amandine a arrêté de me sucer. Elle tourne la tête vers eux. Le vieux me tend deux billets de 20€. Et ils sortent leurs bites.
Elle a pas l’air jouasse… Mais elle se retourne et les pompe un par un. Pendant ce temps je lui enlève sa veste. L’un des vieux sort une boite de capotes. Amandine se lève, je prends une capote et l’enfile. Les vieux me cèdent la priorité. Je mets Amandine devant un arbre sur lequel elle prend appui et je commence à baisser son bas de pyjama. Elle est nue en dessous. Mais le bas nous gêne. Alors je le remonte, et décide de le déchirer. Quand elle comprend elle veut m’arrêter, mais c’est trop tard, les vieux décident de faire pareil sur le haut de son pyjama. L’un d’eux sort un opinel et coupe le haut au niveau des petits seins d’Amandine. Elle ne dit rien et se laisse faire. Je commence par lui mettre un doigt dans le cul, puis force l’entrée avec ma queue. Elle se soutient d’un bras avec l’arbre, pendant que l’un des vieux agrandit le trou de son bas de pyjama pour accéder à sa chatte qui semble ruisselante. Les vieux veulent la baiser maintenant, je sors et leur laisse Amandine comme un objet à leur disposition. Ils décident de la fourrer à deux. Je prends quelques photos avec mon téléphone, puis décide de regarder si elle n’a pas le sien dans sa veste pour en faire d’autres. Elle me le déverrouille pendant qu’elle se faire ramoner, les vieux n’y vont pas de mains mortes. Je fais une vidéo pendant qu’elle se fait traiter de tous les noms et qu’elle gémit et en demande plus.
Au bout de quelques minutes, les vieux décident de retirer leurs capotes et de se finir à la main pour lui éjaculer dessus. Amandine a l’air d’être dans un état second, ils lui crachent sur le visage et éjaculent dans ses cheveux, sur sa bouche, elle en a partout.
Les vieux nous remercient et s’en vont. Amandine tente de s’essuyer avec son pyjama mais c’est pas fameux. Elle vient me finir en me suçant, je lui dis de tenir bien la bouche ouverte, et je prends sa tête dans mes mains et commence à lui baiser la bouche. Ses bruits de gorge et sa bave me font jouir en quelques secondes, au fond de sa gorge.
Je lui tends sa veste, qu’elle remet pour tenter de cacher son état. Je lui donne les deux billets bien gagnés, et repars chez moi.
Par lui suite j’ai plus eu de nouvelles pendant plusieurs mois.